Sur Twitter, Mays Mouissi agit comme un chef de gang de peluches, ne cessant de produire des « analyses » absurdes, alors que son champ de compétence se limite à la DGBFIP où ses amis lui envoient régulièrement des documents. Sa dernière sortie, dans laquelle il contestait le nombre de prises en charge (10 millions) en arguant que le Gabon ne compte que 2 millions d’habitants, lui a valu une pluie de critiques visant à lui rappeler les évidences.
Comparant cela à la situation du métro parisien, qui a transporté 3 milliards de passagers en 2016, Mays Mouissi est mis face à l’absurdité de son raisonnement. Évidemment, cela ne signifie pas que la ville de Paris compte 3 milliards d’habitants, à moins de ne pas utiliser son cerveau pour réfléchir un peu. Devant ces évidences, Mays Mouissi n’a trouvé que le blocage systématique comme réponse.
Celui qui se proclame le plus grand démocrate du Gabon fuit le débat et la contradiction des idées. Il ne supporte visiblement pas d’être contredit. Mays Mouissi a montré le visage d’un vil personnage qui n’hésite pas à manipuler la réalité pour servir son propre récit.